Escoussans

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Escoussans
Escoussans
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Catherine Bertin
2020-2026
Code postal 33760
Code commune 33156
Démographie
Gentilé Escoussanais
Population
municipale
279 hab. (2021 en diminution de 13,35 % par rapport à 2015)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 41′ 06″ nord, 0° 15′ 55″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 97 m
Superficie 5,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Escoussans
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Escoussans
Liens
Site web mairie-escoussans.jimdo.com/

Escoussans est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Vue aérienne du bourg d'Escoussans (photo de Jean Carrier).

Vignes, bois, vallons et ruisseau composent les paysages de cette localité typique de l'Entre-deux-Mers. Escoussans se trouve sur un plateau incliné d'ouest en est, avec un faible dénivelé estimé à 73 m, ce qui crée des paysages vallonnés favorables à l'exposition des vignobles.
La côte d'altitude la plus significative est au nord-est, au lieu-dit Pasquet qui culmine à 96 m. Le point le plus bas est situé au moulin de Laubès à 23 m d'altitude, en fond de vallée.
Le bourg se trouve, quant à lui, à une altitude de 45 m[1].

La commune est située à 36 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 20 km au nord de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 7 km au sud de Targon, ancien chef-lieu de canton[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Ladaux au nord-nord-est sur à peine 50 mètres, Porte-de-Benauge à l'est, Omet au sud également sur à peine 50 mètres, Laroque au sud-sud-ouest sur moins de 500 mètres, Rions au sud-ouest et Soulignac à l'ouest.

Communes limitrophes d’Escoussans[3]
Ladaux
Soulignac Escoussans Porte-de-Benauge
Rions,
Laroque
Omet

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 848 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Escoussans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (70,5 %), forêts (17,3 %), prairies (7,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Les principales voies de communication routière traversant le village sont :

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est l'échangeur no 2 de Podensac qui se situe à 13 km vers le sud-ouest.
L'accès no 1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 34 km vers le sud.
L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89, accès no 9, qui se situe à 27 km vers le nord.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 9,5 km par la route vers le sud-ouest, de Cérons sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. Sur la même ligne mais offrant plus d'opportunités de liaisons, la gare de Langon se situe à 20 km par la route vers le sud.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Escoussans est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1999, 2009 et 2020[19],[17].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[20]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escoussans.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 129 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 129 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En ce qui concerne les origines du nom de la commune, plusieurs hypothèses ont été avancées :

  • le nom d'un homme, Scottius (ou Scotius), associé au suffixe latin -anu(m), signale une fondation gallo-romaine attestée par l'archéologie ;
  • durant l'occupation des Wisigoths en Aquitaine, en 418, le nom d'un homme, Scuzzeo, suivi du suffixe germanique -ing, serait devenu Escoussans[23] ;
  • il proviendrait du patronyme des seigneurs du lieu, en l'occurrence de Bernard d'Escoussans[24], aussi appelé Bernard Seguin d'Escoussans. Cette hypothèse est peu probable, car les Escoussans se nomment en réalité les Seguin[25]. Ils ont ajouté Escoussans à leur nom de famille (ce qui donne les Seguin d'Escoussans), à la suite de leur installation comme seigneurs dans la paroisse d'Escoussans. Dans la branche des Seguin, on retrouve également un seigneur dénommé Auger Seguin de Rions (Rions vient du nom d'un village qui touche celui d'Escoussans) ;
  • dans le Sud-Ouest de la France, les noms de lieux ont parfois une base hydronymique : Escout (Escot) est un village des Pyrénées-Atlantiques situé sur un cours d'eau, l'Escou. Une escorra est un ruisseau, un fossé, une rigole ou un canal ; c'est ce terme qui est à la base des toponymes Escource (Landes) et Escoursolles, quartier de Pissos (Landes). Dans le Languedoc, escourrou est un nom topographique désignant un courant, une rigole, une conduite d'eau[26]. Escoussans se situe au bord d'un ruisseau, l'Œuille (il peut s'agir d'une simple coïncidence).

Concernant ces hypothèses, les étymologies se sont peut-être superposées au fil du temps, ce qui est fréquent en toponymie[26].

En gascon, le nom de la commune est Escossan.

Histoire[modifier | modifier le code]

Des traces de vie apparaissent sur la commune d'Escoussans dès le Néolithique, comme l'atteste la découverte d'une hache polie sur le site de la Pereyre.
D'autres signes de présence humaine ont été observés, notamment pendant l'époque gallo-romaine, sur les sites de Pasquet, de Liron (vestiges d'habitations) et de Balaurin (découverte en 1957 d'un trésor monétaire constitué de 26 pièces d'antoniniens).
Des sondages réalisés à l'extérieur de l'église Saint-Seurin semblent témoigner d'une occupation de la commune à l'époque mérovingienne.
On estime que cette paroisse serait apparue autour du VIe siècle, et qu'elle couvrait un territoire plus important qu'aujourd'hui.

C'est à partir du XIe siècle qu'Escoussans apparait dans des sources écrites. On retrouve le nom du lieu dans le cartulaire de La Sauve-Majeure (entre 1095 et 1208) sous différentes formes[23] :

  • Escozan, Scozan, Eschozan, Esquozan, Escocan, Excuchan, Escossan, Scossan (occitan) ;
  • Scutatio, Scuciano (latin) ;
  • Scutian, Scotian, Scocian, Excuchano.
Blason de la famille « Seguin d'Escoussans », seigneurs d'Escoussans puis bâtisseurs et seigneurs du château de Langoiran.

Aux XIe, XIIe et XIIIe siècles, une famille de nobles, les Seguin, possède des terres et des biens à Escoussans, qui est un de leurs fiefs[25]. Ils prennent, dès lors, le nom de « Seguin d'Escoussans », s'appropriant le nom du lieu sur lequel ils exercent leur seigneurie. À cette époque, les Seguin d'Escoussans sont milites (équivalent de chevalier) et seigneurs vassaux à la cour des seigneurs de Benauges.
Au XIIIe siècle, ils bâtissent le château de Langoiran et en deviennent seigneurs (ce qui étend encore plus leur pouvoir dans la région).
Les Seguin d'Escoussans conservent leur titre et exercent leurs prérogatives banales jusqu'au rattachement de la seigneurie à la maison d'Albret, en 1345[1] (date du mariage d'Amanieu d’Albret et de Mabille Seguin d’Escoussans).

La présence à Escoussans des chevaliers de l'Ordre du Temple (ou de celle des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem) est une piste plausible à cette époque (XIIe et XIIIe siècles). En effet, un manoir datant du XVIe siècle et situé dans le bourg de la commune, porte le nom énigmatique de « Commanderie de Saint-Vincent » (le nom fait sans doute référence à un édifice antérieur au manoir, qui se trouvait sur le même emplacement). Sur la façade de ce manoir, on observe également deux importants symboles utilisés par les chevaliers croisés : deux croix pattées (doit-on voir ici un hommage des bâtisseurs du manoir aux anciens occupants du lieu ?).

À la Révolution, la paroisse Saint-Seurin d'Escoussans forme la commune d'Escoussans[27], une petite paroisse du pays de Benauge qui compte, selon les sources de 1790, environ 370 habitants. Elle est composée pour majorité de paysans, d'artisans et de quelques familles de la bourgeoisie rurale locale. On y produit du blé froment, du vin, du foin, du bois et quelques légumes, qui sont acheminés vers le port de Cadillac.
La Révolution marque une période où les paysans s'opposent au seigneur de Benauge lorsqu'ils contestent le versement, injuste à leurs yeux, des droits seigneuriaux. Escoussans se dote par la suite d'une garde nationale et d'une municipalité (dont le premier maire fut Benoît Menguin, laboureur)[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
c. 1790   Benoît Menguin   Laboureur
    ...    
1945 1965 Pierre Deloubis Droite Conseiller général
1965 1995 Henri Deloubis Droite Conseiller général
juin 1995 2014 Jean-Michel Menguin SE  
2014 2015 Éric Denisse   Fonctionnaire de catégorie b
2015 2020 Jean-Jacques Chatelier   Employé
2020 En cours Catherine Bertin   Contrôleur de Gestion RH

Le , Escoussans quitte la communauté des communes rurales de l'Entre-Deux-Mers à destination de la communauté de communes de Podensac, des Coteaux de Garonne et de Lestiac-sur-Garonne, Paillet, Rions[28].

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Escoussanais[29].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 279 habitants[Note 3], en diminution de 13,35 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
366363350359335338321301296
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
286275300315286308297282307
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
329317347328318314284285297
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
288247243260262244267270320
2017 2021 - - - - - - -
299279-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c À la découverte de l'Entre-deux-Mers : Escoussans, A.S.P.E.C.T. (Association pour la Sauvegarde du Patrimoine et de l'Environnement du Canton de Targon), .
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 30,3 km pour Bordeaux, 14,7 km pour Langon et 5,8 km pour Targon. Données fournies par lion1906.com, consulté le 22 avril 2013.
  3. Carte IGN sous Géoportail
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Escoussans et Saint-Sulpice-de-Pommiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers » (commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Escoussans », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Escoussans », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. a et b Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes : Gironde, Pau, Éditions CAIRN, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5).
  24. Escoussans sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 23 septembre 2015.
  25. a et b Pierre Jules de Bourrousse de Laffore et Gabriel O'Gilvy, Nobiliaire de Guienne et de Gascogne : revue des familles d'ancienne chevalerie ou anoblies de ces provinces, antérieures à 1789, avec leurs généalogies et leurs armes ; Traité héraldique sous forme de dictionnaire. Tome 3, Paris, Dumoulin (Paris), 1856-1883 (lire en ligne), p. 96, 97.
  26. a et b « Plan cadastral / Les lieux dits d'Escoussans », sur mairie-escoussans.jimdo.com.
  27. Historique des communes, p. 19, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 2 avril 2013.
  28. http://www.gironde.gouv.fr/content/download/37509/260966/file/RAA%2033%20SPECIAL%20N%C2%B0%202017-153.pdf
  29. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 2 avril 2013.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. L'église Saint-Roch Saint-Seurin sur le site officiel de la commune, consulté le 9 avril 2013.
  35. L'église Saint-Seurin d'Escoussans sur le site officiel du tourisme en Aquitaine, consulté le 9 avril 2013.
  36. « Eglise paroissiale Saint-Seurin, Saint-Roch », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).